
Ce que j'ai voulu signifier par cette expression, c'est que le travail de "cubisme"est amputé de moitié, par rapport au moai cubiste.


Au contraire même dirais-je.
C'est quand même assez pénible d'essayer de tracer des traits droits sur des surfaces courbes ( - :


Alors, pour me faciliter la vie, je me suis créé une sorte de repère en fixant 2 planches perpendiculaires sur le haut et le dos de la bûche de bois.
L'astuce n'est pas idéale et est très largement perfectible, mais pour le moment, c'est tout ce que j'ai trouvé.

Le tracé est fait en double des 2 cotés de la pièce (j'ai tendance à scier de travers et sans ce double tracé pour me repérer dans mes coupes, je vais découper une tronche en biais : - )
Pour reporter au mieux les cotes d'un cotés à l'autre, j'ai utilisé un mètre à ruban de couturière.

J'ai laissé mes planches repères fixées, elles m'ont servi de support.

Vu la taille de la bûche, la tronçonneuse ne m'a pas semblé bien indiquée.J'ai donc plutôt employé une scie sabre avec une lame de scie égoïne pour les grosses découpes.


La finition aussi est faite au ciseau à bois :
Personnellement, je préfère garder un petit aspect brut, alors je n’emploie pas trop le papier de verre.
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