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mardi 26 février 2019

Démontage de notre chaudière à gaz

La semaine juste avant Noël (évidemment !), notre chaudière à gaz murale, Ferrolli Domitop F24 E (de 17 ans !!), s'est mise à faire un boucan d'enfer.

Le bruit est "rotatif", ça fait penser à un moteur métallique fortement grippé ou avec un morceau de métal en travers d'une hélice.
J’arrête et je redémarre la chaudière (réflexe d'informaticien): pas mieux.

A part ça, la chaudière fonctionne très bien, les radiateurs de la maison sont bien chaud, et elle ne se met pas en sécurité non plus.

J'enlève le premier habillage pour écouter le circulateur.

C'est le seul truc que je connais là-dedans, je sais juste qu'il lui arrive de se coincer à cause de l'âge et des boues présentes dans le circuit et je sais juste comment le relancer.

Mais là, le circulateur ne fait pas de bruit, il fonctionne correctement.

Non, le bruit vient de derrière une grosse plaque de galva que je n'ose pas toucher dans un premier temps (ouais, en fait, j'ai peur du gaz).

Je fait donc quelques recherches sur le web et je tombe sur ce forum ("https://forums.futura-sciences.com/depannage/583358-ferroli-domitop-f24e-plus-de-chauffage-sanitaire-resolu.html") qui me fait découvrir qu'il y a un extracteur derrière la grosse plaque galva.
Et là, ça devient plus clair: le bruit "rotatif" ça ne peut être que ça et comme il continue à tourner ça doit être une petite "connerie" (sinon il ne tournerait pas et la chaudière se mettrait en sécurité, me dis-je).

Ma compagne contacte le plombier qui vient, écoute le bruit, ne démonte rien sur la chaudière et dit que c'est l'extracteur qu'il faut changer. Le devis est de 300 euros.

Moi "qui suis plus malin que les autres", ça me plait pas qu'il n'ait pas ouvert la chaudière et je suis sûr que c'est surement une petite connerie (bon, c'est vrai que ça serait pas la première fois : - ).

Alors, du coup j'attaque. En fait, il suffit d'un simple tournevis cruciforme.

La grande plaque de galva, derrière la caisse d'habillage, tient avec 4 vis.

Une fois ôtée, on voit, en haut, l'extracteur.
2 vis et l'extracteur bascule vers le haut, avec sa platine de fixation.

Et à l'intérieur de l'hélice de l'extracteur, je trouve feu Monsieur le lézard trop curieux qui a dû rentrer par la cheminée.
Une fois le cadavre enlevé, je remonte le tout dans l'autre sens et la chaudière re-fonctionne parfaitement.


2 points Positifs: la chaudière re-fonctionne correctement et elle me fait beaucoup moins peur maintenant ( - :

Quelques jours plus tard, en rentrant des courses, je vais chercher une bière (ouais, mon vieux frigo à bière est dans la chaufferie au fond du garage).
Et là, en rentrant, grosse odeur de gaz.
Immédiatement, j'ouvre tout pour ventiler le garage, je coupe le gaz et la chaudière.
Une fois bien ventilé, je remet le gaz puis je rallume la chaudière: plus d'odeur.

Je déclenche la chaudière, légère odeur de gaz mais bien perceptible.


OK, j'ai donc certainement fait une connerie (quand je vous dit que ce serait pas la première : -).
Du coup, j'ai démonté et remonté ma chaudière 3 fois en 3 jours, en la passant à la soufflette, à l'aspirateur, en démontant le corps de chauffe et en la faisant fonctionner le corps de chauffe ouvert (j'avais déjà vu le plombier faire ça : - ).

Je ne trouve rien de spécial. Ou plutôt si, je finis par me rendre compte que l'extracteur refait du bruit. Largement moins fort qu'avant, mais c'est bien clair.

Là, je dis "c'est bon, ça me dépasse. Je fais revenir le plombier et s'il le faut, on change la chaudière".

Le plombier revient. Je lui explique ce que j'ai fait et ce que j'ai vu.
Il démonte la chaudière et la démarre: pas de bruit pas d'odeur.
On laisse tourner un moment, puis il éteint et rallumes plusieurs fois et à un moment: le bruit se fait bien entendre.
"C'est l'axe du l'extracteur qui a un soucis. Le lézard n'était peut-être qu'une coïncidence. Sur ces modèles et de cet age, ce n'est pas étonnant. L'extracteur ne fonctionnant pas efficacement par moment, l'extraction et la combustion ne sont pas correctes."

Il en profite pour m'expliquer quelques trucs de plombier sur le démontage, l'entretien, etc... de ces chaudières

A part ça, il me dit aussi que notre chaudière est peu usée pour son âge (comme nous avons un ballon d'eau chaude à gaz séparé, et un poêle à bois, la chaudière fonctionne finalement assez peu).
Que ces modèles sont très robustes, que les modèles récents sont bourrés d'électronique et qu'il rencontre le même genre de galères que les mécanos avec l'électronique des voitures récentes.

Le lendemain, il revient changer l'extracteur: la chaudière re-fonctionne parfaitement, silencieusement et plus aucune odeur de gaz.

Comme quoi, c'est bien d'essayer de se démerder tout seul, mais quand c'est un métier...et bien c'est un métier.

Et puis je suis content, j'ai appris plein de choses ( - :

Fixer un isolant multicouche sur la porte du garage.

Depuis pas mal d'années maintenant, le portail et le portillon de notre garage sont isolés avec un film alu multicouche (fourni par mon copain Maxou).

Originellement, je l'ai fixé avec du gros scotch alu comme conseillé par Maxou

Malheureusement, au fil de années, sur le portail, le scotch a tendance à se décoller sous l'effet du poids, lorsque le portail est ouvert.

Après 2 ou 3 re-scotchage, je me suis dit qu'il fallait que je trouve une meilleure idée.

Et il se trouve, fort heureusement, qu'à l'endroit des jointures horizontales, se trouvent justement, des renforts métalliques du portail.


Alors, portail fermé, j'ai vissé, au vis auto-foreur avec un petite rondelle, ces liens en fibre plastique qui sont généralement utilisées pour fixer le contenu des palettes, ou pour sangler les gros cartons.
Bref, encore de la récup bien utile.

Voila, dans le doute, j'ai fixé 2 de ces bandes (sur chaque renfort transversaux) et maintenant, l'isolant ne bouge plus d'une oreille quand j'ouvre le portail.

M'es avis que ça devrait tenir plus longtemps de l'adhésif du scotch.
A suivre .....









Étendoir costaud

ou un étendoir qui résiste (enfin) à une femme ( - :

Depuis que nous nous connaissons, ma compagne a utilisé plusieurs et divers systèmes d’étendage pour le linge (les fameux tankarville, on a eu un étendoir parapluie, etc...) qui ont tous finis cassés, mutilés, etc...

Sa dernière idée a consisté à installer une corde à linge entre les poteaux de notre pergola sur la terrasse.

Pratique parce que facilement accessible (sur la terrasse) et avec un espacement de 2m30 entre les poteaux, elle trouvait ça facile pour étendre les draps notamment.

Par contre, les oiseaux, parfois, perchés sur la pergola qui faisait leur besoin sur le linge l'amusait moyennement.

Je voulais lui mettre en place un étendoir tout aussi pratique (donc prés de la terrasse et avec de grandes largeurs), mais aussi très costaud (elle peut être assez "rude" avec le matériel) et qui résiste au temps (météo) et au temps (tempus).


Je suis donc parti sur des tubes galva de panneau routier (récupérés chez un bon ferrailleur): c'est du "très costaud" et ça dure longtemps.

J'ai ainsi fabriqué 2 "T" de 2m50 de hauteur pour 80cm de largeur. Pour le croisement du "T", je me suis efforcé de découper "une gueule de loup" pas trop moche, à la disqueuse.
Les bouts des branches des "T" sont fermés par une plaque métallique soudée pour éviter que tous les insectes du quartier viennent y nicher.
Les branches des "T" sont percées de trous traversants tous les 20cm.


Pour la fixation dans le sol, j'ai utilisé des "grosses chevilles" galva achetées chez Lidl lors d'un discount "non food" (comme ils appellent), pour une dizaine d'euro.


Après m'être bien épuisé à essayer de les enfoncer dans le sol (notre terrain c'est du "grave", donc plein de caillou), mon copain Thierry m'a prêté son gros perfo avec sa fameuse mèche "trépan".

Cela m'a permis de faire un pré-trou de 70 cm de long, et je n'ai plus eu qu'à visser les chevilles de fixation.

Les poteaux rentrent dans les chevilles et un boulon permet de les "fixer".

Les fils à linge sont faits de fil de fer plastifié pour le grillage, attachés, d'un coté à une branche de "T" et de l'autre à un tendeur.

La mise en place se fait gentiment, sans s'énerver, en tendant, un petit peu, l'un après l'autre, sous peine d'avoir un truc tout tordu à l'arrivée.

Les 2 "T" ont finalement étaient reliés par un grand tube galva (un ex-piquet d'antenne TV) simplement boulonné dans les "T".
Parce que malgré la costaudité des poteaux et de leur fixation, la tension des fils (pourtant faible) avait réussi à les faire "venir" vers l'intérieur.

Ma femme qui n'était pas spécialement emballée par mon idée (comme dab ?  : - ) quand je lui en ai parlé, et maintenant ravie de ce nouvel étendoir.

Bien pratique aussi pour moi quand je fais des lessives "de combat" dans la machine à laver du garage.









ChromeSetup.exe fait une erreur 0x80070057

Je viens d'avoir le cas en tentant de lancer "ChromeSetup" par l'intermédiaire d'un programme (de configuration automatique de machine).


ChromeSetup.exe se trouve sur un répertoire réseau.
Si je le lance "à la main" aucun soucis.

J'ai bien recherché sur le web, sans trouver de réponse.

Et là, je me rend-compte que si je le copie en local, je peux le lancer via mon programme.

Voila, voilou: il semble que pour pouvoir lancer ChromeSetup.exe par un autre programme, il est nécessaire de l'avoir en local (surement une histoire de sécurité ou de répertoire courant).

Si ça peut aider d'autres personnes qui galère avec ça.

vendredi 22 février 2019

ESXI/VMWare - changer la version "matérielle" d'une VM

Problème du jour au boulot: une machine virtuelle VMware (sur un serveur ESXI 6.5) est en version 13.
Du coup, avec un vSphère Client version 6.00 je ne peux plus accéder aux paramètres de la VM.

En fait, quelqu'un a dû activer l'option "mettre à niveau le matériel virtuel", par erreur.
Il se trouve que cette option passe la VM directement à la version "la plus élevée".
La VM en question est passée d'une version 9 à une version 13, alors qu'une version 11 aurait été l'idéal.

La question est donc, comment changer facilement la version matérielle d'un machine virtuelle VMWare ?
Après moultes recherches sur le web, j'ai fini par trouver, dans un recoin sombre, une solution très simple que j'ai utilisé avec succès, et pas qu'une fois et que je m'en vais vous livrer.

Par exemple la machine "M39" est la VM qui est passée en version VM 13.

D'abord je commence par l'éteindre proprement par le menu Windows

Ensuite, je crée une nouvelle machine virtuelle ("M39a") .

Je chois le mode "personnalisé" comme ça je vais pouvoir choisir tous mes éléments.

Notamment la version matérielle que je veux (donc 11, ou 9).

J'indique la même version d'OS (là c'est du Windows)

Je crée la nouvelle VM sans disque ("Ne pas créer de disque") et/ou je le supprime après création.

Histoire de faire un peu de nettoyage dans le datastore (et éviter que quelqu'un ne démarre une de ces VM), je supprime, de l'inventaire, les 2 VM.

Dans l'explorateur de la banque données, je copie le fichier .VMDK de l'ancienne VM, dans le répertoire de la nouvelle (ça peut prendre un peu de temps).

Et de là, sur le .VMX de la nouvelle VM, Clic-Droit + "Ajouter à l'inventaire".
Dans les paramètres de la nouvelle VM, je rajoute un nouveau disque dur existant et je fais pointer sur la copie de .VMDK que je viens de faire.
Je peux redémarrer ma VM qui fonctionne parfaitement.

Voila, ma machine virtuelle a juste changé de numéro de version VM.

Je peux supprimer complètement le répertoire de l'ancienne VM.

Je ne comprends d'ailleurs pas bien que ce type de modification ne soit directement disponible dans l'interface, mais ça c'est un autre débat.

Mise à jour d'un Windows 2012 en Windows 2012 R2

J'ai eu une vingtaine de machine virtuelle (VMWare) en Windows 2012 à mettre à jour en Windows 2012 R2.
En fait, elles subissent toutes un bug de Windows Update, sur cette version de Windows, qui fait apparaître un bandeau, bloquant,  "Windows Update a besoin de votre aide", disant qu'il n'arrive pas à installer les dernières mises à jour.

J'ai eu beau:
. utiliser l'outil de réparation "WindowsUpdate.diagcab" de MS
. forcer les mise à jour Windows Update, même les optionnelles
. réparer l'OS avec un coup de "SFC /SCANNOW"
Rien n'y fait.

Par contre, aucun de mes W2K12 R2, ne pose de problème.
Donc la solution la plus évidente était de remplacer tous les W2K12 "tout court" en R2.

Après quelques recherches sur le web et à avoir poser des questions à des "plus compétents que moi", il semble qu'il n'existe pas de mise à jour "simple" de W2K12 à W2K12 R2.
L'explication qu'on me sert étant: "parque ce n'est pas le même noyau".

Evidemment, taquin comme je suis, il a fallu que je lance une installation de Windows 2012 R2, directement sur un W2K12 standard.
Effectivement, au départ, l'installation ne me propose QUE l'installation.

Alors, soit, allons-y, j'accepte, écrasons tout.

Et voila t-y pas, qu'un des plans de cette fameuse installation, me propose de faire une mise à jour, en conservant tout mes paramètres et mes applications installées ??!!
Mazal-tov, comme dirait, Rabbi Jacob!

Du coup, j'ai fait comme ça, sur ma 20aine de VM et toutes ce sont mises à jour correctement.

Il y en a juste une, qui au terme de la vérification de compatibilité, mais dit que cette version ne pouvait pas être mise à jour (alors que c'est exactement la même version que les autres).

J'ai simplement redémarré la VM, puis relancé l'installation, et là, c'est passé comme une lettre à la poste.

Donc, oui, c'est possible de mettre à niveau un Windows 2012 tout court en Windows 2012 R2.

jeudi 21 février 2019

Petite éolienne - moulin à vent

Ma fille m'a demandé de fabriquer un petit moulin à vent (je ne suis pas sûr que ça s'appelle une éolienne) pour ma mère (sa mamie) qui aime bien regarder tourner ce genre de truc, quand il y a du vent, de sa fenêtre.

Malheureusement, les gadgets en plastique qu'on trouve dans le commerce ne résistent jamais très longtemps soit au vent, soit au soleil.

J'en ai donc fabriqué un qui tienne un peu plus longtemps, tout en restant le plus simple possible.

J'ai pris
. un moyeu de roue de vélo
. 1 bout de tube PVC en 80 ou en 100
. 2 tubes métalliques (1 ex-tube de balançoire et un autre qui rentre dans le premier)
. 1 ex-pied de parasol bricolé.

Pour réaliser l'hélice, j'ai coupé le tube PVC en 4 dans le sens de la longueur.



Sur 2 de ces quarts, j'ai tracé une médiane dans les 2 sens, divisant la surface en 4 parties rectangulaires.

2 de ces parties, diamétralement opposées seront découpées.

La partie restante constituera l'hélice.

Pour la partie centrale de l'hélice, j'ai fait un rond de 3 ou 4 centimètres et arrondis le tracé des 2 rectangles à supprimer.

Reste plus qu'à mettre un coup de perceuse au centre, et on a une hélice prête à être montée.

L'axe de l'hélice est un moyeu de roue de vélo sur laquelle, j'ai simplement sectionné tous les rayons.

Note: aussi loin que je me souvienne, dans la famille, on a toujours utilisé des rayons de vélo comme pique à brochette


Le support de l'axe d'hélice est un bout de tube sur lequel j'ai mis 3 coup de scie pour faire 2 pattes de fixation.


Ces 2 pattes sont percées d'un trou, pour pouvoir passer un boulon de serrage.


Après avoir fait les découpes, le métal du tube est aplati, à la pince.


Je n'ai plus qu'à glisser le moyeu de vélo.



Je rajoute, un boulon (assez long) et un écrou, je serre.

L'axe est en place.





Pour la queue de l'éolienne, je prend un morceau restant du tube PVC.

Je fais 2 trous. Un des trous ira sur le même boulon qui serre l'axe.

L'autre sur un boulon fixé sur le tube avec un collier de serrage de plombier, en cuivre.



Pour faire le mat vertical qui supportera l'éolienne et lui permettra de suivre le sens du vent, je prend un tube qui rentre dans le tube de l'éolienne.

Au bout, je soude une rondelle, je meule pour que ça rentre toujours dans l'autre tube.

Sur le trou de la rondelle, je dépose une bille métallique de roulement à bille, avec une bonne dose de graisse.

J'enfile l'éolienne sur son mat avec sa bille et je fixe le mat sur un pied.


Là-dessus, mon esthète préférée a mis un coup de peinture en bombe et voila, c'est opérationnel.

Lampe en flacon de collutoire

Entres autres occupations de l'hiver, nous pratiquons pas mal la pharyngite et/ou la laryngite, à la maison.
Et qui dit "mal de gorge", dit aussi "flacon de collutoire".

Ou "que faire avec un flacon de collutoire vide ?", à part, évidemment, le mettre à la poubelle, ou le ramener à l'industrie pharmaceutique pour qu'elle "le recycle".

Bien souvent, derrière un flacon de collutoire, se cache un joli petit flacon de verre qui peut-être recyclé.
En quoi me direz-vous ?
Certains le rempliraient de sable de couleur, et petites billes d'acier pour décorer, moi j'en fais simplement une petite lampe à huile ou à alcool.

Pratique, en lieu et place de bougie pour mettre l'ambiance, ou pour l'été, avec de l'huile (ou du pétrole) aromatisée à la citronnelle, pour éloigner les moustiques.

Cela fonctionne bien sur les moustiques tigres, j'ai testé pour vous.
De toutes façons, ils n'aiment visiblement pas tout ce qui est "fumée" (donc même pas aromatisée, chez nous en tout cas, l'odeur de fumée éloigne les moustiques tigres).

Alors comment on fait ça ? Et bien c'est d'une simplicité biblique:

. je commence par arracher le diffuseur à la main (ça ne tient pas très fort)

. avec une tenaille (éviter les lames pour limiter les accidents), je fais sauter le petit opercule en aluminium.

On s'est évidemment assuré avant que le flacon n'est pas sous pression, sinon prévoir un "jet d'opercule à basse altitude".


. avec une pointe de couteau, ou de cutter, j'entaille, dans le sens de la longueur, le revêtement plastique du flacon et je l'arrache (ouais, lui aussi, chuis comme ça moi!)




Ouh le joli petit flacon en verre ( - :




Pour faire le porte-mèche, soit je réutilise le petit opercule, soit je découpe une petite rondelle dans le fond d'une canette de soda (avec un petit coup de scie cloche par exemple).

Dans le petit trou du milieu, je glisse la mèche (soit un bout de ficelle de coton, soit du carbone martelé fourrée avec un bout de ficelle en coton, pour qu'elle dure plus longtemps).


Il suffit de remplir d'huile, ou d'alcool à brûler, d'imbiber la mèche et d'allumer.


J'ai fait plusieurs "crash-test", dans un seau en métal, où j'ai laissé brûler ces petites lampes pour m'assurer que le verre résistait bien à la chaleur.
Que ce soit avec du pétrole ou de l'alcool, jamais eu de soucis.

Avec l'alcool, la flamme est moins visible, mais elle est bien là.